Voici une liste de différentes idées pour répartir votre épargne afin de la sécuriser :
Livret A et LDDS : toujours intéressants
Le livret A et le livret de développement durable et solidaire (LDDS) conservent de précieux atouts : disponibilité, garantie du capital déposé et absence totale de fiscalité.
Pour les personnes plus modestes, le livret d’épargne populaire (LEP) peut s’avérer intéressant. Sa rémunération est environ deux fois supérieure (2,2 % nets). Il permet aux personnes qui sont peu ou pas imposées de placer jusqu’à 7 700 €, disponibles à tout moment. Bien que d’après la Banque de France, près de la moitié des Français sont éligibles au LEP, ils ne sont que 13 % à en avoir un.
Privilégier les nouvelles obligations
En moyenne, un fonds en euros est constitué aux 3/4 d’obligations, c’est-à-dire de titres de dettes émis par de grandes entreprises ou des États. Étant donné la faiblesse des taux d’emprunt sur ces dernières années, les épargnants peinent à être rémunérés.
L’inflation, qui provoque une remontée des taux, entraîne une chute de la valeur de ces obligations à taux fixe gérées par les assureurs. Même si ceux-ci disposent de réserves afin de faire face à un éventuel krach obligataire, les fonds en euros vont continuer d’être faiblement rémunérés durant plusieurs mois.
Néanmoins, les nouvelles obligations (les nouveaux emprunts) sont souscrites à des taux qui sont plus élevés. L’épargnant va donc profiter d’une remontée progressive du rendement de son fonds en euros au fur et à mesure que les gestionnaires reconstituent un stock de titres plus rémunérateurs.
Des placements sûrs à surveiller
Avec la hausse des taux, deux placements sécurisés pourraient devenir intéressants. Ils se différencient du livret A par leurs intérêts qui sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux.
Pour ceux qui ont leur livret A et leur LDDS rempli jusqu’au plafond, les livrets bancaires constituent la première option d’attente. Rémunérés à moins de 0.5 % net, ils n’ont rien d’attrayant. Mais c’est toujours mieux qu’un compte de dépôt qui rapporte zéro.
Une autre option est le compte à terme (CAT). L’épargnant accepte de bloquer une partie de son capital pendant une durée de 3 à 60 mois, pour un versement minimal de 500 à 1 000 €. Le rendement varie selon les taux d’intérêt, le montant versé et la durée du placement. Au début de l’année 2022, il se situait entre 0,10 et 0,85 % à 3 mois, entre 0,20 et 0,90 % à 6 mois, et entre 0,35 et 1 % à 12 mois.
Acheter à crédit
Une autre possibilité est d’acheter à crédit, car emprunter à un taux inférieur à la hausse générale des prix est un moyen de limiter ses pertes. Cependant, il faut le faire dans de brefs délais.
La guerre et les incertitudes qui l’accompagnent concernant ses impacts ne permettent pas une vision claire sur le long terme. Il faut donc se préparer à une augmentation des taux d’emprunt. Il est donc conseillé aux emprunteurs en cours d’achat de valider leur accord de prêt rapidement pour ne pas subir cette augmentation.
Éviter d’investir en Bourse
L’investissement en Bourse présente un risque élevé. La baisse des marchés boursiers, obligataires et immobiliers engendrée par l’inflation risque de pénaliser tous les placements financiers.
Les prix à la production battent des records et le PIB de la zone euro pourrait subir une baisse de 5 %. Il est donc préférable de se tenir éloigné des fonds en unités de compte des assurances-vie ainsi que des plans d’épargne retraite, et d’alléger son plan d’épargne en actions (PEA).
La spéculation avec les cryptomonnaies
Les cryptomonnaies, dont Bitcoin, Ripple ou Ethereum, sont des devises numériques qui s’échangent via un système informatique fonctionnant via une technologie de stockage et de transmission d’informations sans autorité centrale.
Leur accès s’est largement démocratisé avec l’apparition de plateformes d’achat en ligne. Cependant, ce ne sont pas des valeurs refuges. Leurs cours, qui n’ont pas de rapport direct avec l’activité économique, varient en fonction des considérations spéculatives. Et il faut garder en tête que le risque de se faire pirater son portefeuille numérique, ou d’être victime d’escroquerie, avec la présence d’intermédiaires peu scrupuleux, est présent.
L’or, la valeur refuge par excellence
En période de crise, les placements refuges ont tendance à ressurgir.
Ils sont appelés ainsi, car ils permettent de se mettre à l’abri en cas de tempête économique.
L’or est le plus intéressant d’entre eux. Il a prouvé sa forte stabilité à travers le temps tout en gagnant de la valeur au fil des années. Au vu de la période actuelle, c’est le premier placement sur lequel vous devriez vous pencher pour protéger votre épargne.
En plus d’être très sécurisant, investir dans l’or en ligne est aujourd’hui très simple.
C’est notamment le cas avec la plateforme Vannierpatrimoine.com qui offre la possibilité d’acheter et de revendre divers métaux précieux comme de l’argent, du titane, du palladium, du rhodium et bien sûr, de l’or !
L’objectif de cette société est d’accompagner ses clients de l’achat à la revente et de mettre en relation acheteur et vendeur. Son fonctionnement est très simple et il s’appuie sur un système de trading en temps réel. Vous pouvez donc acheter de l’or et le revendre le lendemain si vous le souhaitez.
Les lingots sont stockés en zone franche en Suisse et peuvent vous être envoyés une fois achetés.
Concrètement, utiliser Vannierpatrimoine.com pour sécuriser votre épargne vous fait bénéficier des avantages suivants :
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